La pollution atmosphérique présente un plus grand risque pour la santé mondiale que le tabagisme ou la consommation d’alcool ! C’est en effet, ce que détaille un rapport de l’institut de Politique Energétique de l’université de Chicago (EPIC) publié ce mardi 29 août.
Sommaire :
- La pollution atmosphérique est plus mortelle que le tabagisme
- La pollution touche nos organes
- Orium offre des solutions pour surveiller la qualité de l’air intérieur que nous respirons
- Recommandations de mesureurs Quaelis
La pollution atmosphérique est plus mortelle que le tabagisme
« La pollution de l’air par les particules reste le plus grand risque externe pour la santé humaine dans le monde » indique le rapport publié par l’Energy Policy Institute de l’Université de Chicago (EPIC).
Les particules fines proviennent des incendies, de l’activité industrielle et des véhicules motorisé. Elles sont cancérigènes et augmentent le risque de maladies pulmonaires, de maladies cardiaques et d’AVC.
De manière générale, la qualité de l’air s’est améliorée au cours des dernières décennies en Europe. Mais tous ces efforts sont menacés, entre autres, par le nombre croissant d’incendies de forêt dans le monde, causés par la hausse des températures et les sécheresses plus fréquentes, liées au changement climatique, provoquant des pics de pollution atmosphérique.
La pollution touche nos organes
La pollution de l’air entraîne une perte d’espérance de vie évalué à 2 années… devant l’alcool, devant le tabac (au niveau mondial) ! Les particules fines de polluants vont se répandre et vont aller au plus profond des poumons dans les alvéoles pulmonaires, passer dans le sang et se répandre dans tous les organes.
La pollution de l’air peut toucher plusieurs des organes et entraîner des maladies sur :
– Le cerveau
– Les poumons
– Le cœur
– Les reins
– Le pancréas
– L’utérus
C’est ce que démontre (à partir de la 31ème minute) le médecin et journaliste Mr Damien Mascret dans le JT de France 2 du 29/08/23. La vidéo est disponible ici : https://www.france.tv/france-2/journal-20h00/5166246-edition-du-mardi-29-aout-2023.html
Orium offre des solutions pour surveiller la qualité de l’air intérieur que nous respirons
La pollution de l’air étant invisible et inodore, des mesureurs de qualité de l’air intérieur environnant ont été développés par les équipes d’Orium permettant de mesurer et donc d’identifier les polluants. Une large gamme appelée QUAELIS, en fonction des polluants à identifier, de la taille des pièces, et des budgets.
Nos équipes sont à votre disposition pour toute demande de renseignements au 02 52 56 50 22.